L’enfer d’un patron fétichiste

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il y a 7 ans

Eric est un de ces patrons autoritaires dont le respect de ses salariés se limite à les payer le moins possible. Les heures supplémentaires il ne connaît pas mais en demande souvent. Il est fétichiste DL, de jeux en couche, de tenue diverses en plastique, de féminisation imposée par une nurse imaginaire. Imaginaire car même en ayant pris des abonnements sur Abkingdom et Fessestivites, il ne trouve pas la fille qui pourrait partager ses fantasmes et délires. Son problème est qu’il drague comme il dirige son entreprise, les filles ne peuvent que le fuir tant il est désagréable dès les premiers contacts qu’il gâche bêtement.

Lydia est une de ses salariées, malmenée comme les autres, elle ne rêve que de trouver un autre emploi. Très coquine de nature, à trente-six ans, elle arpente sur le net. Les histoires érotiques autour du monde de la fessée et de la soumission l’excitent. Ses clics la conduisent parfois sur des plateformes vidéo ou de photos érotiques, où elle trouve l’inspiration pour se faire de petits délires. Sur le site selfbondage/.fr elle a trouvé des scénarios de selfbondage, ils lui permettent de s’amuser un peu sans pour autant faire des rencontres BDSM.

Lors de ses surfs coquins, elle voit parfois des photos de son ex mari, parti avec une blondasse dominatrice, ces images la peinent ou l’énervent suivant ses humeurs. Un soir, ou plutôt une nuit, il lui semble reconnaître son patron sur des photos de mec en couche portant des tenues de bébé adulte. Comme le lecteur peut s’en doute, Lydia se met à étudier le profil avec un intérêt très particulier.

Elle visionne toutes les photos de CirE, tous ses commentaires sur le forum. Le style méchant et hargneux correspond bien aux remarques désagréables et incisives de son patron. Elle se sert un café puis poursuit ses investigations pour en avoir le cœur net. Sur une des photos qu’elle trouve, elle aperçoit un bout de tatouage sur le bras de l’homme vêtu d’une robe en manche courte. Du mot « Maman » elle ne peut lire que « aman » mais cela lui suffit pour se convaincre que c’est lui.

Dans le profil de CirE, l’âge correspond, la ville indiquée est celle à quelques kilomètres de l’entreprise. L’annonce indique qu’il recherche une nurse sévère et dominatrice, il ajoute qu’il est prêt à l’inviter dans de grands restaurants histoire de faire comprendre qu’il a les moyens. Tout comme son patron dédaigneux quand il se moque de ses concurrents. S’il est doué en affaire, il est son contraire en terme de communication. Lydia se penche sur l’ABDL, un fétichisme qu’elle ne connaissait pas et modifie son annonce pour essayer de piéger CirE. Deux jours plus tard, il l’a contacte avec son style habituel.

  • Salut, j’aimerai que tu changes ma couche pisseuse et t’inviter ensuite dans un quatre étoiles si tu es capable de le faire correctement.

Comme prise de contact, c’est assez direct pense Lydia et lui ressemble bien de faire briller une récompense que l’on n’est pas sûr d’avoir. Elle se lance aussitôt dans le dialogue.

  • Faut voir

  • Faut voir quoi, c’est oui ou c’est non

  • Pour que ce soit oui, j’ai besoin de savoir si tu as les couilles d’être le bébé d’une nurse sévère.

  • Et pourquoi ça ?

  • Parce que je n’ai pas envie de perdre mon temps avec un fantasmeur.

  • Qu’est-ce qui me prouve que tu es bien une fille ?

  • Qu’est-ce qui me prouve que tu seras capable d’assumer ou même viendra au rendez-vous ?

  • Tu me gonfles !

Sentant qu’il va l’envoyer balader, Lydia assouplie un peu sa stratégie.

  • Te prouver que je suis une fille n’est pas un souci. Nous avons qu’à allumer nos cams.

  • Je ne peux pas me permettre d’être reconnu, je suis un personnage connu.

  • Moi aussi, mais je peux te faire voir mes seins si tu te montres de dos en couche. De dos, tu ne risques rien.

  • OK tu commences !

  • Oui c’est ça, et après tu coupes pour te branler sans te faire voir ?

  • C’est pas mon style je dis je fais !

Lydia meurt d’envie de lui dire que ce n’est pas le cas avec les heures supplémentaires rarement payées et toujours contestées mais se contient.

  • Ok, j’allume ma cam mais tu me jures qu’après tu te fais voir de dos en couche ?

  • Juré !

Elle allume sa webcam qu’elle cale en baissant l’écran de son ordinateur portable. Lorsqu’elle voit sa demande de cam, elle l’accepte aussitôt. Eric aperçoit juste son buste et constate qu’effectivement elle a une poitrine. Il lui demande de lui faire voir ses seins qui semblent très beaux. Lydia soulève son chemisier dévoilant à son regard son soutien-gorge puis le rebaisse aussitôt jugeant qu’il en a assez vu.

  • Je n’ai pas vu tes seins !

  • Si mais ils sont recouverts d’un soutien-gorge. Si tu veux les voir en vrai un jour et même les téter, il va falloir devenir un gentil bébé !

  • Tu ferais ça ? Tu me donnerais le sein ?

  • Oui sans problème mais il faut le mériter.

  • Je dois faire quoi ?

  • Déjà, tenir ta promesses de te faire voir en couche. Après on verra !

L’excitation d’Eric est double, vivre deux de ses fantasmes avec une femme et parvenir à l’embobiner pour l’emmener à ce qu’il désire. Il accepte aussitôt la demande de cam de Lydia, se lève et fanfaronne en couche devant la cam. Lancé dans ses délires, il écarte la couche et lui fait voir ses fesses puis son sexe avant de revenir s’asseoir devant l’écran après avoir coupé la cam.

  • Tu vois que je l’ai fait !

  • Tu es très beau en couche ! Répond Lydia pour l’allumer le plus possible.

  • C’est vrai ?

  • Oui, je me vois déjà en train de te changer et surtout de te mettre une fessée pour avoir osé me montrer ton petit robinet de pisseux.

  • Tu donnes aussi la fessée ?

  • Oui mais qu’aux garçons qui ont une cage de chasteté, comme ça, ils sont de vrais petits garçons ! Répond Lydia soudainement décidée à devenir une nurse sévère et très dominatrice.

  • Je veux te voir en vrai, on va au restaurant quand ?

  • On se calme, nous irons un jour mais cela dépend de toi ?

  • Ne me dis pas que tu es une pute ?

  • Non, je ne suis pas vénale, mais ta question ainsi posée mérite une punition !

  • Laquelle ?

  • On commence par « pardon Madame de vous avoir mal parlée » !

  • Pardon Madame de vous avoir mal parlée !

  • Et bien ta punition va être que je vais couper pour ce soir. Je veux que tu m’envoies un message privé avec la liste complète de toutes tes affaires de vilain garçon. Comme ça, le jour où je viendrai te voir chez toi, je serai plus à l’aise pour jouer avec toi. JE VEUX TOUT SAVOIR ainsi que tes fantasmes les plus fous et si je sens que tu triches, ce sera fini entre nous ! Compris ?

  • Oui Madame, on peut encore parler ?

  • Nous aurions pu encore parler une minute ou deux mais tu n’as pas dit « s’il vous plait » donc je coupe. N’oublie pas que tu as un message à m’envoyer !

Lydia coupe aussitôt la conversation. Elle jubile de joie et s’offre un verre de whisky coca pour fêter ça. Elle est maintenant convaincu que c’est son patron. De son côté, Eric commence par se faire une branlette avant de se lancer dans la rédaction du message demandé. En même temps qu’il l’écrit, il se voit totalement entre les mains de cette nurse lui semblant sévère. Il se voit même obligé de porter sa [robe de sissy](Robe sissy douce) et de recevoir une fessée de sa nurse avant qu’elle lui donne le sein après lui avoir changé sa couche.

Le lendemain, il reçoit une réponse à son très long message.

« Tu es vraiment un vilain bébé, tu as effectivement besoin d’une nurse sévère. Dans la liste de toutes tes affaires, je n’ai pas vu de cage de chasteté. Si je dois t’habiller en vilaine petite fille et te donner la fessée avant de te mettre en couche, je veux que tu en ai une. Comme ça, tu seras vraiment comme les filles si ton petit robinet est enfermé. Re contacte-moi quand tu en auras une. J’aimerai avoir une photo de toi en couche dans ta robe en plastique. Mon email est Nurse-severe-hotmail.fr ».

Devenue machiavélique dans ses projets, Lydia a créé une adresse de messagerie avec comme ferme intention de piéger son patron dans les grandes longueurs. Elle surfe sur fessestivites sur les 365 idées de punition et y trouve des idées intéressantes pour s’amuser et le piéger complètement.

Quatre jours plus tard, elle ne répond qu’à un des huit messages qu’il lui a adressé. L’objet de l’email est : « j’ai acheté une cage de chasteté ». En guise de réponse, elle lui adresse un selfie d’elle en maillot de bain deux pièces avec un martinet à la main avec comme instruction : « je veux te voir ce soir en cam à vingt et une heure avec ta couche, ta robe et ta cage de chasteté ».

Le soir même, CirE porte la tenue demandée. Il allume sa cam tout en faisant attention de ne pas faire voir son visage. Lydia l’allume un maximum, lui dit qu’il est très BELLE en majuscule pour qu’il apprécie bien le compliment. En grande sadique, elle veut voir s’il a mis sa cage de chasteté et qu’il joue avec. Il soulève sa robe, tire sur sa couche pour faire sortir son sexe encagé. Lydia lui demande de l’agiter et de se caresser entre les jambes comme s’il était une vilaine fille.

CirE s’exécute aussitôt, se toucher ne lui pose pas de problème en temps normal, sauf que là, son érection est très limitée et un peu douloureuse tant elle tire ses testicules. En guise de récompense et pour asseoir son piège, elle lui demande d’accepter sa cam et de s’approcher de l’écran pour qu’il voit bien ses seins.

Et là, pris par l’excitation, Eric se penche comme demandé pour voir ses nibards sans faire attention au fait qu’elle pourrait voir son visage. Ses seins, il les voit Lydia s’étant mise torse nu, elle les soupèse pour lui faire voir qu’il va avoir de quoi téter et lui demande d’embrasser l’écran comme s’il le faisait. La conversation dure quelques minutes, des minutes de rêve pour CirE qui se voit déjà dans ses bras.

Ce qu’Eric ne sait pas, c’est qu’elle a fait des copies d’écran de toutes ses fantaisies, et même une de quand il a embrassé l’écran. Plus compromettante comme photo il n’y a pas, on le voit en robe en train d’embrasser l’écran. Il ne pourra donc pas dire que ce n’est pas lui sur toute la série qu’elle a réussi à faire ce soir là. Le sentant mûr à point, elle lui demande de la retrouver samedi à onze heure à la brasserie Les fleurs du Malt à Nîmes. Il devra avoir une couche sous son pantalon et sa cage de chasteté ainsi que les clés de cette maudite cage qui commence à l’ennuyer.

Ce jour là Eric est dans ses petits souliers, c’est la première fois qu’il rencontre une nurse. Pour ne pas se louper, il part même avec une heure d’avance, lui qui a l’habitude de faire attendre ses employés, cela change..... Lorsque sa deuxième secrétaire s’assoie à côté de lui, très gêné, il lui dit qu’il attend quelqu’un et que la place est prise.

  • Je sais que tu attends quelqu’un, c’est moi !

  • Vous devez vous tromper, je vous demande de me laisser et d’aller vous asseoir ailleurs ! Répond Eric d’un ton appuyé.

  • Regarde ce qu’il y a dans cette enveloppe avant de me virer ! Lui répond Lydia sans se démonter.

Agacé, Eric ouvre l’enveloppe, en sort des pages sur lesquelles il se voit en robe, en couche en train d’embrasser l’écran. Sa gorge se serre aussitôt. Il devient rouge pivoine, son cœur semble s’arrêter de battre.

  • Vous voulez quoi ? Demande Eric très tendu.

  • Les clés de ta cage de chasteté, un café et un croissant pour commencer !

L'enfer commence ici avec la suite de cette histoire à rebondissement

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